L'importance des communs numériques dans la stratégie de souveraineté.
Peut-on se développer dans le monde numérique lorsque le chemin que l'on emprunte est soumis à la volonté d'entreprises privées dont un simple changement de conditions d'utilisation peut entraîner la disparition de sites tout entiers ? Les communs numériques, ces ressources libres ou open-source comme Open street map et Wikipedia, sont des alternatives qui garantissent l'accessibilité des informations et favorisent l'autonomie des acteurs à tous les niveaux. Henri Verdier, Ambassadeur pour le numérique, travaille depuis plus de 25 ans pour définir la place de ces communs en France et promouvoir un internet libre, ouvert et sûr.
Peut-on se développer dans le monde numérique lorsque le chemin que l'on emprunte est soumis à la volonté d'entreprises privées dont un simple changement de conditions d'utilisation peut entraîner la disparition de sites tout entiers ? Les communs numériques, ces ressources libres ou open-source comme Open street map et Wikipedia, sont des alternatives qui garantissent l'accessibilité des informations et favorisent l'autonomie des acteurs à tous les niveaux. Henri Verdier, Ambassadeur pour le numérique, travaille depuis plus de 25 ans pour définir la place de ces communs en France et promouvoir un internet libre, ouvert et sûr.
Henri Verdier
Ambassadeur pour le numérique
Né en 1968 (52 ans), il démarre dans l'entreprenariat et rejoint en 2007 le groupe Lagardère Active en tant que directeur de l'innovation pour 2 ans.
Il crée le think tank "Futur numérique" pour l'institut Télécom en 2009, co-fonde MFG-Labs en 2010 puis dirige de 2013 à 2015 Etalab, le service du 1er ministre chargé de l'ouverture des données numériques. A cette époque, il publie une nouvelle version de data.gouv.fr en permettant aux français d'enrichir les données publiques et est nommé Administrateur Général des Données. En 2015, il devient DINSIC (directeur interministériel du numérique et du système d’information et de communication de l’État), pose les bases de "l'État connecté" avec France Connect et d'api.gouv.fr et favorise la création de "start-ups d'État".
Ancien membre du conseil scientifique de l'Institut Mines-Télécom et du comité de prospective de l'ARCEP, Henri Verdier est membre du Comité de prospective de la CNIL.
Né en 1968 (52 ans), il démarre dans l'entreprenariat et rejoint en 2007 le groupe Lagardère Active en tant que directeur de l'innovation pour 2 ans.
Il crée le think tank "Futur numérique" pour l'institut Télécom en 2009, co-fonde MFG-Labs en 2010 puis dirige de 2013 à 2015 Etalab, le service du 1er ministre chargé de l'ouverture des données numériques. A cette époque, il publie une nouvelle version de data.gouv.fr en permettant aux français d'enrichir les données publiques et est nommé Administrateur Général des Données. En 2015, il devient DINSIC (directeur interministériel du numérique et du système d’information et de communication de l’État), pose les bases de "l'État connecté" avec France Connect et d'api.gouv.fr et favorise la création de "start-ups d'État".
Ancien membre du conseil scientifique de l'Institut Mines-Télécom et du comité de prospective de l'ARCEP, Henri Verdier est membre du Comité de prospective de la CNIL.
